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L
a P U B L i
a n c e
atelier
d'écriture et publication
.
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e n l i g n e . . .
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Atelier d'écriture
XIII
La
synecdoque
avec
Le
Premier accroc coûte
deux cents francs
d'Elsa
Triolet
Sommaire
>
Extrait de Le
Premier accroc coûte deux cents francs :
nouvelles
(1944)
d'Elsa
Triolet, pp. 87-94.
>
Qui était Elsa
Triolet
?
>
Présentation
des nouvelles du recueil
Le
Premier accroc coûte deux cents francs.
>
Qu'est-ce qu'une synecdoque
?
>
Extrait de Le Premier accroc
coûte deux cents francs :
nouvelles
(1944,
pp. 87-94)
d'Elsa Triolet,
où les mots servant à construire des synecdoques sont en majuscule.
>
Exercices et consignes d'écriture.
***
>
Extrait de Le
Premier accroc coûte deux cents francs :
nouvelles
(1944)
d'Elsa
Triolet, pp. 87-94.
Elle
retira ses deux mains et gagna la porte. La femme du docteur la
tenait ouverte pour elle, pressée, pressée de la mener dans la
chambre où il y avait une bordure d'oiseaux sous le plafond, des
arbres derrière les fenètres et où l'on pouvait rêver comme nulle
part ailleurs...
Et
les rêves, ça la connaît, Juliette...
Ceci
est écrit en février 1943 et c'est à l'Histoire de mener ma
chanson.
La
Vie privée ou Alexis Slavsky artiste peintre.
Chapitre
premier.
J'ai
envie de parler de la rose et du rossignol, d'une belle nuit, d'une
belle journée et d'une belle vie, du bonheur, et des drames
fragiles, faciles et inconsistants... Que la femme soit belle, que
l'homme soit grand et généreux, que l'air autour d'eux soit pur et
sans danger, que les eaux soient bleues et tièdes comme les cieux,
que la terre soit fleurie sous le pas léger du couple, que le destin
lui laisse le temps de voir chaque feuille sur les arbres, chaque
insecte sur son brin d'herbe, chaque mouvement du coeur, de la
pensée... Mais la vie me tient par le poignet et je tombe, je tombe,
comme si j'avais une pierre au cou, jusqu'au fond de la réalité.
Une
de ses grand-mères n'était pas très catholique et bien que
Français de naissance, de coeur, de culture et de carte d'identité,
il portait un nom polonais. Il remplissait ainsi assez bien les
conditions requises pour avoir des ennuis, aussi avait-il choisi de
rester au sud de la ligne de démarcation, côté du moindre mal. Il
avait été assez perspicace pour s'y faire démobiliser, comme il
l'avait été en fichant le camp et évitant de se faire faire
prisonnier, pendant que les copains confiants dans la mansuétude du
gracieux vainqueur se laissaient prendre, croyant ainsi couper court
aux embêtements de la guerre. Pour quelqu'un qui ne s'était jamais
occupé que de peinture, Alexis Slavsky avait, somme toute, fait un
assez bon calcul, il n'avait pourtant été aidé là-dedans que par
la représentation qu'il avait des hommes en général...
Alexis
Slavsky, artiste peintre, était Français à la deuxième
génération, croisement du sang bleu d'un nobliau polonais et du
sang vermeil d'une belle Juive russe, qui étaient venus à Paris,
voilà un siècle, pour mieux dilapider leurs fortunes conjuguées,
produits de la terre et de la finance. Ils avaient mené grand train
entre le monde, le demi-monde, les gens des arts et du théâtre.
Après la mort des grands-parents d'Alexis, les moyens d'existence de
son père s'étaient trouvés nuls. Le petit hôtel particulier du
Faubourg Saint-Honoré vendu aux enchères, il ne lui restait pour
toute fortune que le portrait en pied, grandeur nature, de la belle
Esther, grand-mère d'Alexis, peint par son mari.
>
Qui était Elsa
Triolet
?
Romancière
française d'origine russe (1896-1970), Elsa Triolet est l'auteure
de : Bonsoir
Thérèse
(1938, première œuvre en français), Le
Cheval blanc
(1943), Roses
à crédit
(1959), L'Âme
(1963), etc., et Le
Grand Jamais
(1965, réflexion sur la vérité historique, le temps, l'amour et la
mort, à laquelle fera écho La
mise à mort
d'Aragon, qu'elle rencontra en 1928 et dont elle devint la compagne
et l'inspiratrice).
L'auteure
se veut en prise directe sur son temps. Elle écrit pour ses
contemporains et leur pose, clairement, le problème de ce qu'ils
vivent aujourd'hui (en 1943, en 1959, etc.) et de ce qu'ils doivent
faire pour améliorer leurs lendemains.
Le
grand problème qu'elle pose de livre en livre est celui du bonheur :
chacun de ses personnages est mû par sa recherche douloureuse,
impossible. Elle affirme que le bonheur est à portée d'homme à
condition d'ouvrir les yeux sur le monde et de vouloir le
transformer. C'est en ce sens qu'elle est un écrivain militant.
>
Présentation
des nouvelles du recueil
Le
Premier accroc coûte deux cents francs.
Prix
Goncourt 1944, Le
Premier accroc coûte deux cents francs
est un recueil
de nouvelles imprégnées de l'aventure de la Résistance lors de la
Seconde guerre mondiale.
Il
est composé de quatre nouvelles intitulées : Les
Amants d'Avignon
(première
nouvelle du
recueil, et qui
est d'abord parue clandestinement sous le pseudonyme de Laurent
Daniel en 1943),
La
Vie privée ou Alexis Slavsky artiste peintre,
Cahiers
enterrés sous un pêcher,
et
Le
Premier accroc coûte deux cents francs.
Dans
ces quatre nouvelles (et comme
Aragon, dont elle est la compagne et la muse)
Elsa Triolet voit le monde réel dont elle veut décrire les
symptômes de la maladie qui le ronge, ses accès de fièvre, ses
accidents et les crises, les cassures, les violences de l'histoire,
en témoin de son temps. Un
même souci la guide et la soutient : aller vers le vrai, dire
vrai, scruter le monde visible d'un œil clair et pénétrant –
jusqu'au fond de la réalité, précisément.
Les
Amants d'Avignon
raconte comment Juliette
Noël, à peine vingt ans, dactylo dans une usine d'aviation puis
sténo de presse pendant la guerre, habitant Lyon après l'exode,
boîte-à-lettres pour la Résistance, échappe de peu à une
arrestation par la Gestapo.
La
Vie privée ou Alexis Slavsky artiste peintre
raconte comment Alexis
Slavsky,
qui avait trente ans passés, dont les parents étaient morts et dont
la peinture se vendait bien, mobilisé en septembre 39, se remet à
peindre une fois démobilisé.
La
nouvelle intitulée Cahiers
enterrés sous un pêcher
raconte l'enfance heureuse et la vie mouvementée de Louise Delfort
jusqu'à son arrestation, puis son exécution à l'automne 43.
Le
Premier accroc coûte deux cents francs
relate des scènes à la fois ordinaires et extraordinaires (« Le
débarquement, c'est pas grand-chose, après tout ? »),
intenses ou agitées, de la période comprise entre le 6 juin et le
15 août 1944.
Le
sens de la phrase choisie pour le titre du recueil nous est donné
dans les dernières phrases de la nouvelle du même titre :
Le
6 juin, le message « Le premier accroc coûte deux cents
francs » avait annoncé le premier débarquement.
Le
15 août, il y avait eu un deuxième accroc... De ce deuxième
accroc, je n'ai jamais su le prix. Déjà, toute l'étoffe s'en
allait en pièces, parce que dans notre impatience nous nous étions
tous mis à la déchiqueter.
Paris,
novembre 1944.
>
Qu'est-ce qu'une synecdoque
?
La
synecdoque
est une espèce de métonymie ; c'est une figure de rhétorique par
laquelle on donne une signification particulière à un mot, qui dans
le sens propre a une signification plus générale.
Dans
la métonymie on prend un terme pour un autre (exemples : « boire
un verre »
au lieu de : « boire le
contenu du verre »,
« vivre de son travail »
au lieu de : « vivre de ce
qu'on gagne en travaillant »,
« ameuter la ville »
au lieu de : « ameuter les
habitants de la ville »),
au lieu que dans la synecdoque on prend le moins pour le plus, ou le
plus pour le moins (le tout pour la partie, ou la partie pour le
tout, le genre pour l'espèce, ou l'espèce pour le genre, la matière
pour l'objet, ou l'objet pour la matière, le singulier pour le
pluriel, ou le pluriel pour le singulier). Exemples : « une
voile à l'horizon »
pour « le bateau »,
« les flots »
pour « la mer »,
« l'airain »
pour « les canons »,
« les mortels »
pour
« les hommes »,
« un fer »
pour
« une épée »,
« des porcelaines de
Chine »
pour
« des récipients en
porcelaine de Chine »,
« l'ennemi »
pour
« les ennemis »,
« porter un castor »
pour
« porter une toque en
fourrure de castor »,
etc.
Les
deux termes de la synecdoque (celui qui est normalement attendu mais
qui n'apparaît pas, et celui qui se substitue au terme attendu) ont
un rapport de contiguïté et d'inclusion, car non seulement ils font
partie de la même isotopie (secteur du réel), mais l'un inclus
l'autre.
Le
mot féminin synecdoque
représente la réfection de sinodoche
(en
linguistique, la réfection
est la modification d'une forme linguistique populaire, issue de
l'évolution normale, d'après l'étymologie ; le XVIe
siècle a procédé à de nombreuses réfections de mots d'après le
latin ou le grec), emprunté au bas latin synecdoche,
repris du grec sunekdokhê
« compréhension
simultanée de plusieurs choses »,
lui-même dérivé de sunekdekhesthai
« se
rendre maître en même temps, comprendre à la fois »
verbe composé de sun
« avec, ensemble » et de ekdekhesthai
« recueillir
dans son esprit, saisir, comprendre »,
lui-même formé de ek-
(qui marque l'origine) et de dekhesthai
« recevoir »,
lequel se rattache à une importante racine indoeuropéenne exprimant
l'idée de conformation,
d'adaptation.
Résumé
étymologique
:
sun
(avec,
ensemble)
+ ekdekhesthai
(ek
(qui marque l'origine)
+ dekhesthai
(recevoir)
->
sunekdekhesthai
(se
rendre maître en même temps, comprendre à la fois)
->
sunekdokhê
(grec)
->
sinodoche
(1521)
->
synecdoche
(1690, forme latine)
->
synecdoque
(par réfection, 1730, César Chesneau Dumarsais (grammairien
français, 1676-1756).
L'emploi
de la synecdoque permet des descriptions réalistes, des portraits,
des récits en prose ou en poésie. La synecdoque correspond à une
perception du monde qui procède du particulier au général ou du
général au particulier. Le rapport sémantique entre les deux
termes ou les deux notions est un rapport d'inclusion : la partie
dans le tout, où le détail suggère l'ensemble, ou bien inversement
la partie par le tout.
On
parle de synecdoque particularisante (le détail suggère l'ensemble)
lorsqu'on effectue un zoom avant (impression de gros plan,
valorisation d'un élément), et de synecdoque généralisante (zoom
arrière, recul, éloignement, distanciation, généralisation).
Exemples : « Le buste
survit à la cité »
Théophile Gautier (1811-1872), où l'élément particulier « Le
buste »
remplace l'ensemble « sculpture »
; « Les plus fines
cravaches du monde entier vont s'entraîner là-bas »,
où l'élément particulier « cravaches »
remplace l'ensemble « les
jockeys ».
Inversement : « Il porte un
feutre »
est une synecdoque généralisante, où l'ensemble « feutre »
remplace l'élément particulier « chapeau ».
La
synecdoque est une figure non absolue, mais relative. Dire « le
bâtiment »
pour désigner une maison est une synecdoque généralisante, mais
dire « la maison »
pour désigner un chalet ou une cabane par exemple, est aussi une
synecdoque généralisante. Tout dépend des repères qui sont pris,
et du contexte, dont dépend toute valeur (linguistique et
sémantique). Cette dernière est constamment variable, un même mot
ayant toujours un nouveau sens dans un nouveau contexte.
Dans
le texte, la synecdoque traduit très souvent un retour à une
impression ou à une perception plus sensible et physique du monde.
Elle joue sur les rapports respectifs de l'ensemble et du détail,
elle va de l'un à l'autre, suggère l'un par l'autre et inversement.
Elle est toujours très visuelle, car elle fait constamment varier la
distance de perception des choses, la distance du locuteur d'avec les
choses perçues, dans le langage et dans l'esprit, par une
comparaison constante entre ce que l'on perçoit du visible (les
objets, les formes, le cadre, les couleurs, les contrastes, etc.) et
ce que l'esprit en fait ensuite.
>
Extrait de Le Premier
accroc coûte deux cents francs :
nouvelles
(1944,
pp. 87-94)
d'Elsa Triolet,
où les mots servant à construire des synecdoques sont en majuscule.
Elle
retira ses DEUX MAINS et gagna LA PORTE. LA FEMME DU DOCTEUR la
tenait ouverte pour elle, pressée, pressée de la mener dans la
chambre où il y avait une bordure D'OISEAUX sous LE PLAFOND, DES
ARBRES derrière LES FENÈTRES et où l'on pouvait rêver comme nulle
part ailleurs...
Et
les rêves, ça la connaît, Juliette...
Ceci
est écrit en février 1943 et c'est à l'Histoire de mener ma
chanson.
La
Vie privée ou Alexis Slavsky artiste peintre.
Chapitre
premier.
J'ai
envie de parler de LA ROSE et DU ROSSIGNOL, d'une belle nuit, d'une
belle journée et d'une belle vie, du bonheur, et des drames
fragiles, faciles et inconsistants... Que la femme soit belle, que
l'homme soit grand et généreux, que l'air autour d'eux soit pur et
sans danger, que les eaux soient bleues et tièdes comme les cieux,
que la terre soit fleurie sous le pas léger du couple, que le destin
lui laisse le temps de voir chaque feuille sur les arbres, chaque
insecte sur son brin d'herbe, chaque mouvement du coeur, de la
pensée... Mais la vie me tient par le poignet et je tombe, je tombe,
comme si j'avais une pierre au cou, jusqu'au fond de la réalité.
Une
de ses grand-mères n'était pas très catholique et bien que
Français de naissance, de coeur, de culture et de carte d'identité,
il portait un nom polonais. Il remplissait ainsi assez bien les
conditions requises pour avoir des ennuis, aussi avait-il choisi de
rester au sud de la ligne de démarcation, côté du moindre mal. Il
avait été assez perspicace pour s'y faire démobiliser, comme il
l'avait été en fichant le camp et évitant de se faire faire
prisonnier, pendant que les copains confiants dans la mansuétude du
gracieux vainqueur se laissaient prendre, croyant ainsi couper court
aux embêtements de la guerre. Pour quelqu'un qui ne s'était jamais
occupé que de peinture, Alexis Slavsky avait, somme toute, fait un
assez bon calcul, il n'avait pourtant été aidé là-dedans que par
la représentation qu'il avait des hommes en général...
Alexis
Slavsky, artiste peintre, était Français à la deuxième
génération, croisement du sang bleu d'un nobliau polonais et du
sang vermeil d'une belle Juive russe, qui étaient venus à Paris,
voilà un siècle, pour mieux dilapider leurs fortunes conjuguées,
produits de la terre et de la finance. Ils avaient mené grand train
entre le monde, le demi-monde, les gens des arts et du théâtre.
Après la mort des grands-parents d'Alexis, les moyens d'existence de
son père s'étaient trouvés nuls. Le petit hôtel particulier du
Faubourg Saint-Honoré vendu aux enchères, il ne lui restait pour
toute fortune que le portrait en pied, grandeur nature, de la belle
Esther, grand-mère d'Alexis, peint par son mari.
>
Exercices et consignes d'écriture.
À
partir des mots mis en majuscules et tirés de l'extrait de texte
ci-avant, construire des synecdoques ; trouver le détail du mot en
majuscule, ou au contraire trouver le mot généralisant. Par
exemple, avec « ses deux
mains », une des synecdoques correspondantes pourrait
être : « ses dix doigts ».
Le
but de cet exercice n'est pas de construire de belles et originales
synecdoques (bien que la chance du débutant puisse jouer en faveur
du candidat à la synecdoque), mais bien de s'entraîner à chercher
le détail qui signifie le général (ou au contraire, le plus qui
signifie le moins), le moins qui veut dire le plus (qualitativement
aussi bien que quantitativement), la signification particulière à
un mot, qui dans le sens propre a une signification plus générale.
Puis
construire des phrases en utilisant les deux sens du mot utilisé
pour former la synecdoque (la signification particulière et la
signification plus générale). Par exemple, avec « ses
dix doigts », cela pourrait donner ceci : « elle
retira lentement ses dix doigts de ses gants qu'elle roula en boule
dans sa main gauche et avec le bout du doigt de sa main droite elle
caressa le contour de ses lèvres, ce qui le fit tressaillir de
surprise ».
Et maintenant...
À vous de jouer - et
d'écrire,
À vos claviers, plumes
et stylos !
Bibliographie
:
>
BOURDEREAU Frédéric, FOZZA Jean-Claude, [et al.], 1996. Précis
de français : langue et littérature.
Paris, Nathan (coll. Repères pratiques Nathan), p. 34.
>
DUBOIS Jean, GIACOMO Mathée [et al.], 1999. Dictionnaire
de linguistique et des sciences du langage.
Paris, Larousse, p. 464.
> Le
Grand Robert de la langue française,
2001, 2e éd.
6 vol., t. 4, p. 1424, t. 6, p. 937.
>
GREVISSE Maurice, 1993. Le
bon usage : grammaire française.
Paris, Duculot. 13e éd.,
p. 263.
>
LITTRÉ Paul-Émile, 1991 (1866-1877). Dictionnaire
de la langue française.
Chicago, Encyclopaedia Britannica Inc. Nouv. éd. 6 vol. + 1
supplément, t. 6, p. 6155.
> Le
Petit Robert des noms propres,
2007.
>
PEYROUTET Claude, 1994. Style
et rhétorique.
Paris, Nathan (coll. Repères pratiques Nathan), p. 62.
> REY
Alain (dir.), 1994. Dictionnaire
historique de la langue française.
Paris, Le Robert. 2 vol., p. 2066.
>
THERON Michel, [199-?]. 99
réponses sur les procédés de style.
Montpellier, Réseau CRDP/CDDP (Centre Régional de Documentation
Pédagogique/Centre Départemental de Documentation Pédagogique du
Languedoc-Roussillon) du L.-R. Fiches 37, 48.
>
TRIOLET Elsa. Le
Premier accroc coûte deux cents francs : nouvelles.
Genève : Éditions Édito-Service, 1967.
371 p. (Collection Le Club des grands prix littéraires).
Contact
: numencegalerielitteraire@gmail.com
L
a P U B L i
a n c e
atelier
d'écriture et publication
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