mercredi 16 janvier 2013

Un début, une fin : atelier d'écriture n° 3 de La Publiance


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L a - P U B L i a n c e

atelier d'écriture et publication

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Atelier d'écriture n° 3



Un début, une fin



Toutes les histoires ont un début et une fin. Le tout, lorsque l'on écrit une histoire, est de trouver le bon début et la bonne fin. Cet atelier se propose de partir d'un début et d'une fin donnés par des écrivains chevronnés et reconnus comme tel, et d'écrire sa propre version de l'histoire, d'imaginer ce qu'il peut se passer entre les deux, entre le commencement et l'achèvement de la narration. Vous sont proposés le début et la fin d'une nouvelle de chacun des 4 écrivains suivants : Anton Tchekhov, Marcel Aymé, J.-M. G. Le Clézio et Jules Supervielle.

***

1. Avec Jules Supervielle, poète et romancier français (1884-1960), dont la nouvelle intitulée La Jeune fille à la voix de violon, et extraite de : L'Enfant de la haute mer (recueil de nouvelles publié à Paris par Gallimard en 1997 dans la collection Folio, p. 117), commence comme ceci :



« C'était une jeune fille comme une autre, avec des yeux peut-être trop larges, mais si peu qu'on se demandait si on n'en avait pas vu souvent d'ainsi faits.

Dès l'enfance, elle avait compris, à une sorte d'intrigue autour d'elle, qu'on lui cachait quelque chose. Elle ignorait l'objet de ces chuchotements et ne s'en inquiétait guère, pensant qu'il en était toujours ainsi quand il y avait à la maison une petite fille.

Un jour, comme elle tombait d'un arbre »



Et se termine comme cela :

« Un jour qu'elle lisait à voix haute un long article de politique étrangère, la jeune fille - mais c'était une femme maintenant - s'aperçut à son tour que sa voix ressemblait à celle de ses camarades. Et elle ne put s'empêcher d'en vouloir à son ami qui avait détruit en elle ces accords singuliers :

- S'il m'avait vraiment aimée..., songeait-elle.

- Mais, qu'est-ce que tu as ? Tu es en larmes, dit le père. Si c'est à cause de ta voix, il y aurait plutôt lieu de te réjouir, mon enfant... » FIN.



La consigne est d'écrire un texte (maximum 2 pages de format A4) qui relierait ce début à cette fin. On peut complètement imaginer les personnages, les rebondissements, la trame, l'intrigue, etc., ou bien on peut s'aider des phrases suivantes qui ont été piochées dans la nouvelle :

Arriver chez les gens avec une voix de violon.

Elle gardait généralement le silence.

Et les parents de se regarder avec étonnement : la voix de leur fille était devenue une voix comme les autres.

Le père décida de se faire lire le journal par sa fille, tous les matins.

***

2. Avec Jean-Marie Gustave Le Clézio, romancier français né en 1940, et le début et la fin de Lullaby, publié à Paris par Gallimard en 1987 dans la collection Folio Junior, n° 448 :



Début : « Le jour où Lullaby décida qu'elle n'irait plus à l'école, c'était encore très tôt le matin, vers le milieu du mois d'octobre. Elle quitta son lit, elle traversa pieds nus sa chambre et elle écarta un peu les lames des stores pour regarder dehors. Il y avait beaucoup de soleil, et en se penchant un peu, elle put voir un morceau de ciel bleu. En bas, sur le trottoir, trois ou quatre pigeons sautillaient, leurs plumes ébouriffées par le vent. Au-dessus des toits des voitures arrêtées, la mer était bleu sombre, et il y avait un voilier blanc qui avançait difficilement. Lullaby regarda tout cela, et elle se sentit soulagée d'avoir décidé de ne plus aller à l'école. »



Fin : « Le professeur l'aperçut, et vint à sa rencontre en faisant des signes joyeux de la main.

- Eh bien ? Eh bien ? dit-il. C'est tout ce qu'il trouvait à dire.

- Je voulais vous demander..., commença Lullaby.

- Quoi ?

- Pour la mer, la lumière, j'avais beaucoup de questions à vous demander.

Mais Lullaby s'aperçut tout à coup qu'elle avait oublié ses questions. M. Filippi la regarda d'un air amusé.

- Vous avez fait un voyage ? demanda-t-il.

- Oui..., dit Lullaby.

- Et... C'était bien ?

- Oh oui ! C'était très bien.

La sonnerie retentit au-dessus de la cour, dans les galeries.

- Je suis bien content..., dit M. Filippi. Il éteignit sa cigarette sous son talon.

- Vous me raconterez tout ça plus tard, dit-il. La lueur amusée brillait dans ses yeux bleus, derrière ses lunettes.

- Vous n'allez plus partir en voyage, maintenant ?

- Non, dit Lullaby.

- Bon, il faut y aller, dit M. Filippi. Il répéta encore : « Je suis bien content ». Il se tourna vers la jeune fille avant d'entrer dans le bâtiment préfabriqué.

- Et vous me demanderez ce que vous voudrez, tout à l'heure, après le cours. J'aime beaucoup la mer, moi aussi. » FIN.



La consigne est d'écrire un texte (maximum 2 pages de format A4) qui relierait ce début à cette fin. On peut complètement imaginer les personnages, les rebondissements, la trame, l'intrigue, etc., ou bien on peut s'aider des phrases suivantes qui ont été piochées dans la nouvelle :

Le petit garçon fit oui de la tête.

Puis elle commença à nager un crawl très long, vers le large, jusqu'à ce que le cap s'écarte et laisse voir au loin, à peine visible dans la brume de chaleur, la ligne pâle des immeubles de la ville.

Ça faisait plusieurs jours maintenant que Lullaby allait du côté de la maison grecque.

Ça ne pouvait pas durer toujours.

***

3. Avec Marcel Aymé, écrivain français (1902-1967), auteur de En attendant, nouvelle extraite de : Le Passe-muraille (Paris : Gallimard, 1991, Collection Folio, n° 961), nouvelle qui commence comme ceci :



« Pendant la guerre de 1939-1972, il y avait à Montmartre, à la porte d'une épicerie de la rue Caulaincourt, une queue de quatorze personnes, lesquelles s'étant prises d'amitié, décidèrent de ne plus se quitter.

- Moi, dit un vieillard, je n'ai guère envie de rentrer. »



Et qui se termine comme cela :

« Ses compagnons suivirent son convoi et, en sortant du cimetière, s'attablèrent dans un café où on leur servit à chacun, contre un ticket de cent grammes de pain, un sandwich aux topinambours. Ils n'avaient pas fini de manger que l'un des convives fit observer qu'ils étaient treize à table et qu'il fallait s'attendre encore à des malheurs. » FIN.



La consigne est d'écrire un texte (maximum 2 pages de format A4) qui relierait ce début à cette fin. On peut complètement imaginer les personnages, les rebondissements, la trame, l'intrigue, etc., ou bien on peut s'aider des phrases suivantes qui ont été piochées dans la nouvelle :

La quatorzième personne ne dit rien, car elle venait de mourir tout d'un coup, entre ses nouveaux amis.

Moi, dit une jeune fille, j'ai eu seize ans l'année de la guerre.

Moi, dit un enfant, j'ai faim. J'ai toujours faim.

Moi, dit un homme, cent dieux de nom de Dieu de bon Dieu. Qu'on nous donne du vin, j'en peux plus. J'en peux plus ! J'en peux plus !

Moi, dit un gamin, je voudrais bien que la fin du monde arrive avant midi. Je viens de perdre toutes nos cartes de pain. Ma mère le sait pas encore.

***

4. Avec Anton Tchekhov (1860-1904), médecin, conteur, nouvelliste et dramaturge russe, auteur de Miroir déformant : conte de Noël, nouvelle extraite de : Histoire de rire, et autres nouvelles (Paris : EJL, 2004, Collection Librio, n° 698), qui commence comme ceci :



« Nous entrâmes, ma femme et moi, dans le salon qui sentait l'humidité et le moisi. Dès que nous éclairâmes les murs qui n'avaient pas vu la lumière de tout un siècle, ce fut le sauve-qui-peut pour des millions de souris et de rats. Lorsque nous refermâmes la porte derrière nous, il y eut un courant d'air qui vint nous frapper aux narines et fit frémir des papiers entassés dans les coins. La lumière y tomba et nous découvrîmes des caractères anciens et des enluminures du Moyen Âge. Les portraits de mes ancêtres tapissaient les murs verdis par le temps. »



Et se termine comme cela :

« Tout simplement, le miroir déformait en tous sens le visage disgracieux de ma femme, et ses traits, ainsi chamboulés, donnaient par hasard quelque chose de beau. Moins plus moins égale plus.

Désormais, ma femme et moi, demeurons devant le miroir et, sans le quitter un instant des yeux, nous nous y mirons : mon nez grimpe sur ma joue gauche, mon menton se dédouble et part de côté, mais le visage de ma femme est un enchantement. Une passion folle, sauvage, s'empare alors de moi.

Je ris comme un insensé :

- Ha-ha-ha !

Ma femme, cependant, murmure doucement :

- Comme je suis belle ! » FIN.



La consigne est d'écrire un texte (maximum 2 pages de format A4) qui relierait ce début à cette fin. On peut complètement imaginer les personnages, les rebondissements, la trame, l'intrigue, etc., ou bien on peut s'aider des phrases suivantes qui ont été piochées dans la nouvelle :

Un écho répondait à ma toux, le même qui, jadis, répondait à mes aïeux...

Ce miroir a un pouvoir maléfique : il a causé la perte de mon arrière-grand-mère.

- Le miroir ! Donnez-moi le miroir ! dit-elle en revenant à elle. Où est le miroir ?

Dix ans ont passé depuis, mais elle continue de s'y mirer, sans le quitter un instant du regard.

Qu'était-ce là ? Que se passait-il donc ? Comment ma femme, lourdaude et laide, pouvait-elle paraître aussi belle dans le miroir ? Comment ?

***

Par exemple, avec le début et la fin de la nouvelle d'Anton Tchekhov, cela pourrait donner le texte suivant :



Nous entrâmes, ma femme et moi, dans le salon qui sentait l'humidité et le moisi. Dès que nous éclairâmes les murs qui n'avaient pas vu la lumière de tout un siècle, ce fut le sauve-qui-peut pour des millions de souris et de rats. Lorsque nous refermâmes la porte derrière nous, il y eut un courant d'air qui vint nous frapper aux narines et fit frémir des papiers entassés dans les coins. La lumière y tomba et nous découvrîmes des caractères anciens et des enluminures du Moyen Âge. Les portraits de mes ancêtres tapissaient les murs verdis par le temps.



Ma femme avait eu un accident de voiture qui l'avait défigurée. De nombreuses opérations chirurgicales n'avaient pas réussi à réparer ses traits. Avant, elle avait un nez petit et en trompette, des pommettes hautes et roses qui mettaient en valeur ses yeux en amande, et un adorable front bombé. À présent, avec ses mâchoires carrées, son nez pointu, avec le pli amer de sa bouche et les rides qui s'étaient formées au-dessus et autour de ses yeux, elle ressemblait de plus en plus fortement, et à ma grande surprise lorsque nous les découvrîmes ensemble, à mes ancêtres.

Sans le savoir, le chirurgien avait remodelé le visage de ma femme de telle manière qu'il correspondait parfaitement à la laideur de mes aïeules. Je ne l'en aimais pas moins. Au contraire, l'accident nous avait rapprochés et soudés. Nous avions décidé de fuir la vie urbaine avec son culte de la beauté, ses corps sculptés et ses innombrables et fatigantes mondanités, et d'habiter à la campagne, dans la vaste demeure inoccupée de mes ancêtres.



Le lendemain de notre arrivée au manoir, nous nous rendîmes au village, et pendant que ma femme s'appliquait à faire livrer tout ce qui était nécessaire à notre installation et à nos repas en dévalisant l'épicerie la plus importante du lieu, je parcourus rapidement les quelques rues commerçantes. Je cherchais le magasin d'antiquités, et l'antiquaire afin qu'il nous débarrasse au plus vite de toutes ces vieilleries qui encombraient la demeure ancestrale. Ma femme envisageait de refaire toute la décoration, mais avant cela, il était nécessaire de faire place nette.



Au retour, la fourgonnette était pleine à craquer de victuailles, de chaudes couvertures en laine et de tissus aux multiples coloris qui égaieraient un peu les vieilles boiseries, de sacs de provisions et de cageots de fruits et de légumes. En fin de matinée, nous reprîmes la route du manoir, après avoir convenu avec l'antiquaire d'un rendez-vous pour le surlendemain. Nous vidâmes le coffre de la fourgonnette, nous déjeunâmes devant un bon feu de cheminée, puis nous partîmes explorer les innombrables pièces qui s'étageaient sur deux hauteurs.

Je m'étais muni d'une feuille de papier et d'un crayon et je prenais note de tous les meubles, tableaux, objets, coffres, livres, guéridons, coiffeuses, chandeliers dont ma femme voulait se débarrasser. Quant à moi, j'aurai tout laissé partir, j'aurai tout donné, tant le style pompeux et lourd du mobilier me dérangeait.

J'étais en train de prendre consciencieusement note, lorsque ma femme tomba en arrêt devant une psyché, ce type de miroir mobile monté sur un châssis à pivots grâce auxquels on peut l'incliner à volonté ; elle poussa un grand cri et tomba ensuite au sens propre du terme, évanouie.



J'accourus aussi vite que je pus, jetant au loin la liasse de papier et le stylo, et, après avoir jeté machinalement un regard à la psyché qui me renvoyait l'image familière de mon visage aux traits réguliers, je me penchais sur ma femme, l'enlaçait, la soulevait, serrant contre moi son corps inerte, lui murmurant des paroles réconfortantes sans comprendre ce qui avait bien pu se passer.

Elle reprit connaissance quelques instants plus tard, le rouge aux joues et le regard alangui. Elle murmura aussitôt : « Pas le miroir, pas le miroir ! Surtout pas le miroir ». Sur le moment, je ne compris rien à ses paroles, tout occupé à l'aider à se redresser, à la remettre sur pied et à épousseter ses habits. Elle m'embrassa, puis elle se blottit dans mes bras. « Comme tu voudras, lui assurais-je. Nous allons garder ce miroir, si c'est ce qui te fait plaisir. » Après un dernier baiser, nous continuâmes notre inspection et notre liste.



Les jours qui suivirent furent étranges et incompréhensibles. Ma femme disparaissait des heures entières et s'enfermait dans la pièce où était rangée la psyché. Je n'avais pas le droit d'y pénétrer, elle me l'avait formellement interdit, et je respectais son désir.

Plusieurs mois passèrent ainsi, puis une année, puis deux. Ma femme avait refait entièrement la décoration des trois salle-de-bains, des deux cuisines, des sept chambres, des deux séjours et des trois salle-à-mangers. L'immense jardin avait été débroussaillé et refleuri, de nombreuses essences réintroduites. Notre vie était douce et paisible, et si ce n'était cette étrange lubie, nous aurions vécu ainsi jusqu'à la fin de nos jours, loin des préoccupations citadines égocentrées, loin du tumulte urbain et de l'agitation mondaine.

Un jour, cependant, je n'y tins plus ; il fallait que je sache ce qui se passait derrière cette porte constamment fermée à clef, dans cette pièce exclusivement réservée à mon épouse. J'y suis entré en cachette et je n'y ai découvert que la psyché, qui trônait au milieu, dans un bain de lumière dorée qui pénétrait à flot par les nombreuses fenêtres aux carreaux étincelants. Je m'y contemplais longuement, retrouvant la même figure familière reflétée par le miroir de mon cabinet de toilettes, l'unique miroir du manoir il est vrai. Je réalisai alors que ma femme avait donné toutes les innombrables glaces, vitres, verreries et vitrines dans lesquelles auraient pu se refléter nos deux visages, et que seul me restait le miroir de mon cabinet de toilettes, tandis qu'elle utilisait la psyché dans la pièce fermée à clé.

Afin de tirer au clair ce mystère, je décidai de me cacher au fond d'un placard vide et d'attendre la venue de ma femme. J'entrebâillai la porte en bois et j'attendis. Les heures s'égrenèrent lentement. Soudain, j'entendis des petits pas pressés dans l'escalier dont certaines marches grinçaient, puis des pas étouffés par le long tapis du corridor, une clef qui tourne dans la serrure, une porte qui s'ouvre et se referme prestement, puis plus rien. Le silence. Seulement le silence. Un long silence incongru. Je poussai du bout du doigt la mince porte du placard, de manière à apercevoir la psyché, que ma femme avait déplacée et rapprochée d'une des fenêtres afin de profiter des derniers rayons du soleil couchant.

Elle se tenait dressée face au miroir, le visage animé d'une joie douloureuse, en extase, le regard étincelant d'admiration. Je n'y tins plus et jaillissant de ma cachette, je me précipitai à ses côtés, la saisit par les épaules et j'accolai ma tête contre la sienne. Ce que je découvris me bouleversa pour le restant de mes jours.



Nous nous contemplâmes ainsi toute la nuit, dans la clarté lunaire, jusqu'au petit jour. Elle, une beauté resplendissante et rayonnante, à la bouche pulpeuse et parfaite, aux traits réguliers et purs, au teint velouté, aux yeux gracieux, au regard de velours. Moi, au visage grimaçant et difforme. Comment cela était-ce possible ?



Tout simplement, le miroir déformait en tous sens le visage disgracieux de ma femme, et ses traits, ainsi chamboulés, donnaient par hasard quelque chose de beau. Moins plus moins égale plus.

Désormais, ma femme et moi, demeurons devant le miroir et, sans le quitter un instant des yeux, nous nous y mirons : mon nez grimpe sur ma joue gauche, mon menton se dédouble et part de côté, mais le visage de ma femme est un enchantement. Une passion folle, sauvage, s'empare alors de moi.

Je ris comme un insensé :

- Ha-ha-ha !

Ma femme, cependant, murmure doucement :

- Comme je suis belle ! FIN.



À vous de jouer,

À vos claviers, plumes et stylos !





Bibliographie :



> BERTAUD DU CHAZAUD, Henri, 1999. Dictionnaire de synonymes et contraires. Paris, Le Robert (Collection Les usuels).



> BOURDEREAU, Frédéric, FOZZA, Jean-Claude, [et al.], 1996. Précis de français : langue et littérature. Paris, Nathan (coll. Repères pratiques Nathan).



> Le Grand Robert de la langue française, 2001, 2e éd. 6 vol.



> NIOBEY, Georges (dir.), 1997. Dictionnaire analogique, Paris, Larousse (Références Larousse).



> Le Petit Robert des noms propres, 2007.



Contact : numencegalerielitteraire@gmail.com



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