lundi 2 septembre 2013

Atelier d'écriture I, avec Han d'Islande de Victor Hugo


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L a P U B L i a n c e

atelier d'écriture et publication

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Atelier d'écriture I



La mise en abyme et la prétérition

avec Han d'Islande de Victor Hugo



Sommaire



> Extrait de Han d'Islande (1823) de Victor Hugo, pp. 10-12.

> Qui était Victor Hugo ?

> De quoi est-il question dans Han d'Islande ?

> Que sont la mise en abyme et la prétérition ?

> Extrait de Han d'Islande (1823) de Victor Hugo (pp. 10-12), où les mises en abyme sont en majuscule.

> Exercices et consignes d'écriture.



***



> Extrait de Han d'Islande (1823) de Victor Hugo, pp. 10-12.



[...] Un bruit confus de voix s'éleva : - Impossible, seigneur soldat ! criaient les vieilles femmes ; les jeunes se taisaient, et le voisin Niels rappelait malignement au pêcheur Braal sa grave sentence : « Voilà où conduit l'amour ! »

Le militaire allait se fâcher sérieusement contre ses contradicteurs femelles ; il les avait déjà appelées vieilles sorcières de la grotte Quiragoth, et elles n'étaient pas disposées à endurer patiemment une si grave insulte, quand une voix aigre et impérieuse, criant paix, paix, radoteuses ! vint mettre fin au débat. Tout se tut, comme lorsque le cri subit d'un coq s'élève parmi le glapissement des poules.

Avant de raconter le reste de la scène, il n'est peut-être pas inutile de décrire le lieu où elle se passait ; c'était - le lecteur l'a sans doute déjà deviné - dans un de ces édifices lugubres que la pitié publique et la prévoyance sociale consacrent aux cadavres inconnus, dernier asile de morts qui la plupart ont vécu malheureux ; où se pressent le curieux indifférent, l'observateur morose ou bienveillant, et souvent des amis, des parents éplorés, à qui une longue et insupportable inquiétude n'a plus laissé qu'une lamentable espérance. À l'époque déjà loin de nous, et dans le pays peu civilisé où j'ai transporté mon lecteur, on n'avait point encore imaginé, comme dans nos villes de boue et d'or, de faire de ces lieux de dépôt des monuments ingénieusement sinistres et élégamment funèbres.

Le jour n'y descendait pas à travers une ouverture de forme tumulaire, le long d'une voûte artistement sculptée, sur des espèces de couches où l'on semble avoir voulu laisser aux morts quelques-unes des commodités de la vie, et où l'oreiller est marqué comme pour le sommeil. [...]

La salle où se trouvaient nos interlocuteurs était spacieuse et obscure, ce qui la faisait paraître plus spacieuse encore ; elle ne recevait de jour que par la porte carrée et basse qui s'ouvrait sur le port de Drontheim et une ouverture grossièrement pratiquée dans le plafond, d'où une lumière blanche et terne tombait avec la pluie, la grêle ou la neige, selon le temps, sur les cadavres couchés directement au-dessous. [...]

C'est devant ces reste défigurés qu'avait commencé, au milieu de la foule muette, la conversation dont nous avons été le fidèle interprète.

Un grand homme, sec et vieux, assis les bras croisés et la tête penchée sur un débris d'escabelle dans le coin le plus noir de la salle, n'avait paru y prêter aucune attention jusqu'au moment où il se leva subitement en criant : Paix, paix, radoteuses ! et vint saisir le bras du soldat.



> Qui était Victor Hugo ?



Écrivain français (1802-1885), entré à l'Académie française en 1841, Victor Hugo apparut dès 1827 comme le théoricien et le chef de l'école romantique [on appelle romantisme le mouvement culturel et artistique qui s'est répandu en Europe à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle, et qui est caractérisé par un changement de sensibilité et une rupture par rapport au classicisme et au rationalisme], et l'animateur du Cénacle [entre 1823 et 1830, le Cénacle était le nom d'un groupe qui se constitua d'abord chez Charles Nodier, ensuite chez Victor Hugo, pour définir les idées du romantisme naissant et lutter contre le formalisme classique].

Il fut élu député en 1848, puis il s'exila de 1851 à 1870. Il fut l'auteur d'une œuvre considérable et variée : Cromwell (1827, dont la Préface joue un rôle décisif dans la naissance du romantisme en France), Odes et Ballades (1828), Notre-Dame-de-Paris (1831), Ruy Blas (1838), Les Misérables (1862), L'Homme qui rit (1869), etc. Il fut aussi l'auteur d'environ trois mille dessins, de formats divers et de techniques différentes.



> De quoi est-il question dans Han d'Islande ?



Publié peu après les Méditations poétiques (1820) de Lamartine, et Melmoth (1820), roman noir de l'irlandais Maturin, publié la même année que De l'amour (1823) de Stendhal, Han d'Islande (1823) est le premier roman de Victor Hugo.



Faux roman noir et gothique où le jeune Victor Hugo en cédant au goût de l'époque - et admiratif du roman noir anglais, nous livre une histoire terrible, au ton ironique et railleur qui correspond aussi à l'indécision des convictions du jeune homme jusqu'à l'exil ; mais véritable mélodrame où les contrastes étonnent par leur violence : chevalerie sentimentale, par laquelle Hugo dit le dévouement de sa passion pour Adèle [Adèle Foucher (1803-1868), premier amour et future épouse de l'auteur] ; épouvante (à demi enjouée) avec l'abominable Han, ce petit monstre bestial ravageant les contrées pour venger la mort de son fils, dans le crâne duquel il boit du sang humain ; intrigue politico-policière d'usurpation et de cassette à documents dont dépend le sort du royaume.



C'est surtout l'un des premiers romans du siècle à montrer une révolte ouvrière de la misère. Accueillie avec quelques réserves par son ami Alphonse de Lamartine [poète français, 1790-1869, entré à l'Académie française en 1829 ; membre du gouvernement provisoire et ministre des Affaires étrangères en 1848], cette œuvre fut saluée par un autre de ses amis, Charles Nodier [écrivain français, 1780-1844, entré à l'Académie française en 1833], alors critique littéraire, qui rendit hommage au « style vif, pittoresque, plein de nerf » du jeune romancier.



Han d'Islande relève de la théâtralité des marionnettes, qui s'instaure lorsque la voix du récitant se distingue comme telle. L'émetteur se dissocie de son récit par l'ironie ; l'histoire met en scène l'auteur dans le rôle du narrateur. On se trouve en présence d'un procédé littéraire appelé la mise en abyme et dont le principal effet est une distanciation entre l'œuvre contemplée et celui qui la contemple.



> Que sont la mise en abyme et la prétérition ?



La notion de prétérition a déjà été abordée lors de l'atelier n°17 (lundi 8 avril 2013).

Nous allons voir ici les effets de leur juxtaposition, de leur emploi dans un même texte. Leur contiguïté dans un même espace restreint (un texte d'une trentaine de lignes à produire d'après les consignes d'écriture) créant un effet de mise à distance (l'auteur-narrateur montrant qu'il joue le rôle actif d'un sujet dans l'histoire racontée et lue) - donc de difficulté d'identification du(de la) lecteur(trice) au(x) personnage(s) ; cet effet de distanciation est associé à un effet de révélation - révélation de ce qui est caché, de ce qui est non-dit, mais aussi révélation de la nature de sujet du(de la) lecteur(trice), donc de rapprochement, d'empathie, entre le(la) lecteur(trice) et le(s) personnage(s).



Qu'est-ce que la prétérition ?

La prétérition est une figure de rhétorique dans laquelle on feint de passer sous silence ce sur quoi on attire l'attention, une figure dans laquelle on feint de ne pas vouloir dire ce que néanmoins on dit clairement et même avec force. Par exemple : « Je ne vous dirai pas combien j'ai été affectée par cette nouvelle ». L'atténuation est absolument illusoire et l'énonciation (« Je ne vous dirai pas ») contredit l'énoncé.



La prétérition est une contradiction : ce qui est sous-entendu est le contraire de ce qui est dit.



On parle aussi de paralipse (figure du discours par laquelle le locuteur met en relief une idée en prétendant ne pas la développer) et de prétermission (forme vieillie de prétérition).



Le nom féminin la prétérition est emprunté à la Renaissance (1510) au bas latin praeteritio, -onis, désignant l'action de passer devant, spécialement, au figuré, le fait de passer sous silence sur son testament et, en rhétorique, de déclarer que l'on ne parle pas d'une chose.

Le mot a été repris avec son sens juridique (le gascon utilise pretericion dès 1314) et a retrouvé au XVIe siècle (1577) son acception spéciale en rhétorique (figure par laquelle on parle d'une chose en déclarant qu'on n'en parlera pas) remplaçant prétermission.



Qu'est-ce que la mise en abyme ?

Le réalisme précède le nominalisme. Ce qui permet de voir ne se voit pas. Puis la vitre s'opacifie et devient miroir. Les mots sont le reflet des choses et trouver la bonne distance entre le mot et la chose relève de choix rhétoriques conscients, comme par exemple l'emploi de l'antanaclase.



La présence des choses diminue en même temps qu'augmente la présence de l'esprit. L'activité d'écriture oscille entre ces deux pôles, le réalisme et le nominalisme, et elle cherche à la fois à vouloir par les mots se rapprocher le plus possible des choses, et à la fois à mesurer le gouffre, l'abîme qui les sépare. Le langage devient le miroir de qui se voit écrire, de l'œuvre en train de se créer. C'est la mise en abyme.



La mise en abyme, ou la construction, la structure, la composition en abyme, est un procédé littéraire ou une structure par lesquels, dans une œuvre, un élément renvoie à la totalité, par sa nature (récit dans le récit) notamment lorsque ce renvoi est multiplié indéfiniment, ou qu'il inclut fictivement l'œuvre elle-même.



La mise en abyme est un procédé stylistique de déconstruction, qui provoque une mise à distance non plus entre le mot et la chose, mais une distanciation entre l'œuvre contemplée et celui qui la contemple, entre l'auteur et son texte, entre l'image (qui reflète la chose) et celui qui regarde l'image.



Il y a aussi mise en abyme lorsque l'auteur s'interroge sur son propre langage, sur sa propre façon d'agencer les éléments, il y a alors mise en abyme du sujet, qui montre que le sujet n'est qu'une représentation de plus. Le sujet recule et corrélativement apparaît le côté artificiel de la représentation. C'est une rupture volontaire de l'illusion, une distance prise par l'auteur vis-à-vis de son propre texte. La mise en abyme fait reculer le sujet en l'insérant dans le cadre qui l'entoure et lui donne naissance. Ainsi, d'abord on écrit (naïvement), puis on se voit écrire, puis on écrit sur l'écriture.



Par exemple dans Le renard, les mouches et le hérisson, de Jean de La Fontaine (1621-1695) :

« Un hérisson du voisinage,

Dans mes vers nouveau personnage -> mise en abyme du sujet,

Voulut les délivrer de l'importunité

Du peuple plein d'avidité. »



> Extrait de Han d'Islande (1823) de Victor Hugo (pp. 10-12), où les mises en abyme sont en majuscule.



[...] Un bruit confus de voix s'éleva : - Impossible, seigneur soldat ! criaient les vieilles femmes ; les jeunes se taisaient, et le voisin Niels rappelait malignement au pêcheur Braal sa grave sentence : « Voilà où conduit l'amour ! »

Le militaire allait se fâcher sérieusement contre ses contradicteurs femelles ; il les avait déjà appelées vieilles sorcières de la grotte Quiragoth, et elles n'étaient pas disposées à endurer patiemment une si grave insulte, quand une voix aigre et impérieuse, criant paix, paix, radoteuses ! vint mettre fin au débat. Tout se tut, comme lorsque le cri subit d'un coq s'élève parmi le glapissement des poules.

AVANT DE RACONTER LE RESTE DE LA SCÈNE, il n'est peut-être pas inutile de décrire le lieu où elle se passait ; c'était - LE LECTEUR L'A SANS DOUTE DÉJÀ DEVINÉ - dans un de ces édifices lugubres que la pitié publique et la prévoyance sociale consacrent aux cadavres inconnus, dernier asile de morts qui la plupart ont vécu malheureux ; où se pressent le curieux indifférent, l'observateur morose ou bienveillant, et souvent des amis, des parents éplorés, à qui une longue et insupportable inquiétude n'a plus laissé qu'une lamentable espérance. À L'ÉPOQUE DÉJÀ LOIN DE NOUS, ET DANS LE PAYS PEU CIVILISÉ OÙ J'AI TRANSPORTÉ MON LECTEUR, on n'avait point encore imaginé, comme dans nos villes de boue et d'or, de faire de ces lieux de dépôt des monuments ingénieusement sinistres et élégamment funèbres.

Le jour n'y descendait pas à travers une ouverture de forme tumulaire, le long d'une voûte artistement sculptée, sur des espèces de couches où l'on semble avoir voulu laisser aux morts quelques-unes des commodités de la vie, et où l'oreiller est marqué comme pour le sommeil. [...]

LA SALLE OÙ SE TROUVAIENT NOS INTERLOCUTEURS était spacieuse et obscure, ce qui la faisait paraître plus spacieuse encore ; elle ne recevait de jour que par la porte carrée et basse qui s'ouvrait sur le port de Drontheim et une ouverture grossièrement pratiquée dans le plafond, d'où une lumière blanche et terne tombait avec la pluie, la grêle ou la neige, selon le temps, sur les cadavres couchés directement au-dessous. [...]

C'est devant ces reste défigurés qu'avait commencé, au milieu de la foule muette, LA CONVERSATION DONT NOUS AVONS ÉTÉ LE FIDÈLE INTERPRÈTE.

Un grand homme, sec et vieux, assis les bras croisés et la tête penchée sur un débris d'escabelle dans le coin le plus noir de la salle, n'avait paru y prêter aucune attention jusqu'au moment où il se leva subitement en criant : Paix, paix, radoteuses ! et vint saisir le bras du soldat.



> Exercices et consignes d'écriture :



1. Relever la syntaxe des 30 premières lignes de l'extrait de texte cité plus haut, de « Un bruit confus de voix s'éleva... » à « ... la conversation dont nous avons été le fidèle interprète. ». La syntaxe, c'est l'ordre des mots ou les relations entre les mots dans une phrase ; on parle aussi d'ordre syntaxique.



Exemple avec les 3 premières lignes, de « Un bruit confus de voix s'éleva... » à « ... Voilà où conduit l'amour ! » :



Les 3 premières lignes sont :

Un bruit confus de voix s'éleva : - Impossible, seigneur soldat ! criaient les vieilles femmes ; les jeunes se taisaient, et le voisin Niels rappelait malignement au pêcheur Braal sa grave sentence : « Voilà où conduit l'amour ! »



L'ordre syntaxique est le suivant :

Sujet (Un bruit confus de voix) - verbe (s'éleva) - adjectif (Impossible) - nom commun (seigneur) - nom commun (soldat) - verbe (criaient) - sujet (les vieilles femmes) ; sujet (les jeunes) - verbe (se taisaient) - conjonction de coordination (et) - sujet (le voisin Niels) - verbe (rappelait) - adverbe (malignement) - complément d'objet indirect (au pêcheur Braal) - complément d'objet direct (sa grave sentence) - préposition (Voilà) - adverbe () - verbe (conduit) - sujet (l'amour).



En résumé, la syntaxe des 3 premières lignes de l'extrait de texte est la suivante :

sujet - verbe - adjectif - nom commun - nom commun - verbe - sujet ; sujet - verbe - conjonction de coordination - sujet - verbe - adverbe - complément d'objet indirect - complément d'objet direct - préposition - adverbe - verbe - sujet.



2. Écrire un petit texte d'une trentaine de lignes et le composer dans le même ordre syntaxique que celui de l'extrait de texte de Han d'Islande, en s'inspirant d'une scène ou d'un thème de votre choix, ou en s'inspirant d'une des scènes suivantes :

- scène 1 : un locataire constate que de l'eau coule du plafond de sa cuisine. Il se rend chez son voisin à l'étage au-dessus. Il sonne, il toque à la porte, personne ne répond. Le locataire redescend chez lui et il téléphone à son propriétaire. Personne ne répond, il laisse un message sur le répondeur.

- scène 2 : une mère de famille, accompagnée de ses deux enfants, pousse un caddie au supermarché. Un de ses deux enfants veut acheter des bonbons. Elle refuse.

- scène 3 : suite à l'achat d'une machine de conditionnement de soda, un directeur des ressources humaines doit licencier 3 salariés d'une usine qui en emploie 15, mais il ne sait pas lesquels choisir.



Cela pourrait donner ceci (avec la scène 1, et avec l'ordre syntaxique des 3 premières lignes de l'extrait de Han d'Islande : sujet - verbe - adjectif - nom commun - nom commun - verbe - sujet ; sujet - verbe - conjonction de coordination - sujet - verbe - adverbe - complément d'objet indirect - complément d'objet direct - préposition - adverbe - verbe - sujet) :

Le plafond gouttait. Large, la tache. Un locataire... se dépêche-t-il ? Il court et il frappe fermement de la paume de sa main le battant en bois. Après ? seulement, redescend-il.



3. Introduire 1 ou plusieurs prétéritions (« Je ne dirai pas... », « Je ne parlerai pas... »), ainsi qu'1 ou plusieurs mises en abyme.

Cela pourrait donner ceci :

Le plafond gouttait. Je ne dirai pas que l'eau ruisselait en laissant des coulures grisâtre et silencieuses. Je ne dirai pas qu'un mur taché, c'est laid, c'est laid et c'est triste. Large, la tache. Un locataire... se dépêche-t-il ? J'ai le souvenir d'un jeune homme au visage avenant et souriant - rien à voir avec cette bouche crispée par la colère, ces yeux au regard noir et furibond, ce visage déformée par la rage. Le lecteur, oh excusez-moi mademoiselle la lectrice - la lectrice aura certainement compris que la fuite d'eau qui auréole le plafond de notre jeune homme, déplaît fortement au locataire qu'il est. Il court et il frappe fermement de la paume de sa main le battant en bois. Après ? seulement, redescend-il.



Et maintenant...

À vous de jouer - et d'écrire,

À vos claviers, plumes et stylos !



Bibliographie :



> BEAUMARCHAIS Jean-Pierre de, COUTY Daniel, REY Alain, 1994. Dictionnaire des littératures de langue française. Paris, Bordas, nouv. éd. mise à jour et enrichie, 4 vol., t. 2, p. 1122.



> DUBOIS Jean, GIACOMO Mathée [et al.], 1999. Dictionnaire de linguistique et des sciences du langage. Paris, Larousse, p. 379.



> HUGO, Victor. Han d'Islande. Rueil-Malmaison : Éditions de la Bohème, 1992. 426 p. (Collection Les Sillons littéraires).



> REY, Alain (dir.), 1994. Dictionnaire historique de la langue française. Paris, Le Robert. 2 vol., p. 1626.



> THERON, Michel, [199-?]. 99 réponses sur les procédés de style. Montpellier, Réseau CRDP/CDDP (Centre Régional de Documentation Pédagogique/Centre Départemental de Documentation Pédagogique du Languedoc-Roussillon) du L.-R. Fiches 91, 97.



Contact : numencegalerielitteraire@gmail.com



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